Le fonctionnement du réseau est souple et il se veut évolutif.
Organisation
L’organisation reste pour l’heure sur le modèle simple d’un réseau ; cela ne bloque pas pour autant une éventuelle évolution ultérieure de statut si des éléments nouveaux apparaissaient. Le secrétariat est assuré par le service de radioprotection (IMOGERE) d’UNICAEN. Les acteurs membres du réseau reçoivent une veille régulière en radioprotection que nous diffusons sous la forme d’un note d’Information régulière. La fréquence des réunions plénières sera semestrielle mais au-delà, des groupes de travail thématiques pourraient exister si le besoin s’en ressent.
Chaque réunion s’étend sur la journée et se décline en général en 3 parties :
- La veille réglementaire et scientifique
- Une (ou 2) conférence(s) principale(s) de formation ou de remise à niveau par an
- Des études de poste – études de cas – exposés de difficultés ou de pratiques de terrain
Formation
Les aspects de formation sous une forme institutionnalisée restent du ressort des établissements délivrant des formations académiques ; pour autant, il est clair que le réseau aura une fonction de formation (même informelle) auprès des acteurs de la RP. Le débat reste ouvert.
La constitution de ce réseau est conçue comme un complément utile et indispensable à l’action menée par la SFRP à travers le colloque des PCR qui a lieu tous les 2 ans. Le réseau rassemble des PCR et acteurs de la radioprotection de la région Grand-Ouest venant de milieux divers (enseignement, recherche, structures hospitalières, cabinets dentaires, mutuelles, marine, petites entreprises…) mais hors industrie nucléaire (secteur déjà encadré de longue date et dont les problématiques sont très différentes du secteur « petit nucléaire »).
Communication
Le mode de communication privilégié au sein du réseau sera le courrier électronique ; il est donc nécessaire de communiquer, si ce n’est déjà fait, vos coordonnées précises au secrétariat du réseau (rappelé ci-après). La tenue de ce site internet hébergé par UNICAEN pourra être améliorée pour faciliter la communication.
Observateurs
Trois structures sont régulièrement invitées comme observateurs permanents en raison de leur intérêt pour le sujet :
Les Divisions de Caen et de Nantes de l’ASN
Elles ont ainsi la possibilité d’exprimer les choix et orientations de l’autorité de contrôle, d’informer sur les dispositions techniques qu’elle met en place, de répondre en direct ou en différé aux questions qui ne manquent pas de lui être posées mais qui peut aussi profiter de cet « observatoire » pour apprécier les difficultés d’application sur le terrain.
L’ACRO · Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest
Une association agréée de protection de l’environnement qui exerce une surveillance radiologique de l’environnement dans le cadre d’une démarche citoyenne et qui devrait s’inscrire dans le futur Réseau national de mesures. La radioprotection ne se limitant pas à la seule radioprotection des salariés, chacun comprendra l’intérêt d’un regard extérieur pour cette problématique environnementale qu’il nous faut maintenant intégrer.
Le CEPN · Centre d’étude sur l’évaluation de la protection dans le domaine nucléaire
En raison notamment du rôle joué par le CEPN dans le réseau RELIR · Retours d’expériences sur les incidents radiologiques.
Il est demandé à l’ensemble des participants au réseau régional de faire connaître l’existence de cette structure afin de l’élargir, mais aussi de formuler des propositions d’interventions et de sujets à traiter pour les réunions à venir. Chacun doit se sentir acteur de ce réseau afin de le faire vivre.